Lors de notre dernier passage en Inde, nous avons eu le bonheur de découvrir la région de l’Uttarakhand au cours de notre volontariat non loin de Ranikhet. Je n’avais pas encore dévoilé les photographies de ce coin si spécial et encore intouché, entre pinèdes et sommets himalayens… cette vue est inoubliable, et je souhaite aujourd’hui vous la partager.
Juste des photos argentiques prises avec le vieux Minolta de mon père, ni plus ni moins.
Balade dans la forêt de pins
… et les monts blancs himalayens
Un paysage dont on ne se lasse pas de sitôt.
Au boulot!
Plantation du romarin
Une collègue
Et une de mes préférées :
J’espère que ce petit voyage visuel vous aura plu, cela me fait plaisir de ressortir ces souvenirs sur pellicule.
Je reste marquée par ma visite de Badrinath, village indien sacré situé sur un plateau à 3 500 d’altitude entourés de sommets himalayens, et à deux pas du Tibet interdit. Je partage aujourd’hui avec vous mes photos de Badrinath en argentique. J’ai capturé cette lumière, ces roches et cette immensité avec un plaisir infini… et du film Kodak Portra, l’un de mes favoris.
Si vous souhaitez (re)lire mon parcours pour arriver jusqu’à Badrinath depuis le sud de l’état de l’Uttarakhand en Inde du nord, c’est par ici.
Si vous voulez vous rincer l’œil sur des montagnes (ben quoi ?), restez-là et déroulez gaiement ! Je sais qu’il y a « trop » de photos mais à mes yeux c’est tellement splendide.
Jour 1 – arrivée en fin de journée à Badrinath
La rivière, le pont, le village et le fameux temple.Détail de la rivière, sous les sources d’eau chaude
Le temple, bannières au vent
Jour 2 – randonnée jusqu’au dernier village avant la frontière Tibétaine et une cascade sacrée
Quittant Badrinath à pieds
« Last indian village »… le sens le la formule !
Dans les rues de Manas
La vendeuse de pull-over
Potager montagnard
Un homme spirituel indien (les deux photos sont prises par mon Barbu) et la Rainbow waterfall
Nos yeux rêveurs se perdent dans cette eau d’un bleu glacier…
Et la grimpette commence sur un chemin de pierre, travail gargantuesque si proche des sommets.
Vent, soleil et lumière enchanteresse sur les glaciers et pentes herbeuses
Cascade de glace
La cascade Vasudhara qui chute de 122 m.
Au pied de la cascade, une nouvelle vallée s’ouvre sous nos yeux ébahis.
Chapeau pointu turlututu
Jour 3 – Montagne de Shiva et ballet aérien
Ici les randonneurs ne portent pas de gore tex
Coucou toi !
Avant de repartir, dernière visite au temple coloré
J’espère que ça vous a plu. En attendant, vive le grain, la chimie c41, aimez-vous les uns les autres et bonnes vacances !
Il est rare que je publie autre chose que mes petites photos de voyages, et pour une fois, j’ai un invité de taille : le Barbu, qui est parti sans moi en Sicile pendant 2 semaines en sac à dos, et où il a traîné son cadeau de choix : le Vivitar. Et la pellicule qu’il nous ramène est, de mon avis, vraiment très chouette. Je trouve qu’il y a là un point de vue, et il est vrai que comparé aux photos numériques qu’il a ramené, cette pellicule raconte plus d’histoires… je le laisse vous les conter.
Le marché aux poisson de Catane
Le fameux marché aux poissons de Catane, où je me suis fait nourrir comme un chaton par un vendeur qui me donnait des bouts de poisson cru en guise de petit déjeuner. Super remède contre la gueule de bois ! Je recommande l’auberge de jeunesse qui est à côté (Agora hostel), le personnel est vraiment cool.
La fontaine dans le quartier du marché au poisson
Le Vititar nous montre encore une fois l’étendue de ces capacités. Si la grille devant pourrait sembler gênante, la lumière capturée, l’expression de la statue et les jeux d’eaux sur la fontaine constituent pour moi une raison suffisante de mettre cette photo en avant.
Une petite voiture mignonne dans les rues de Catane, dans une de ses rues si caractéristiques.
Ispica
Un petit tour dans les terres à Ispica
Le Lonely Planet annonce un canyon « cava d’Ispica ». Je suis allé faire un tour, il y a des vergers partout au début de la promenade : y poussent des grenades, du raisin, des citrons, des noix… un vrai jardin d’Eden. Comme on dit dans le nord, je suis allé « à la marotte ».
Trois papis qui posent gentiment à la sortie du canyon, immortalisés devant leur remise troglodyte.
Années 70 bonjour !
Un vendeur de granité maison, boulangerie, pâtisserie à Ispica. J’ai d’abord pris en photo son magasin, et puis après lui avoir commandé un granité amande (délicieux!) je lui ai demandé s’il voulait bien poser devant sa boutique.
Pozzallo, station balnéaire. 9h du matin, coup de soleil. Et cette dame.
Les pêcheurs
Un petit port de pêche très charmant à Marzamemi
Coucher de soleil et pêcheurs sur la digue de Marzamemi
Pachino
J’ai adoré la petite ville de Pachino. La gentillesse des gens, les pépés sur la place, les bons produits locaux, la tomate de Pachino.
Un primeur ambulant
Les boutiques
Ce jeune fromager ci-dessus a passé un coup de fil à Rory. Tout le monde me demandait « Dove è la ragazza ?! ». Alors voilà.
L’église sur la place principale Une rue débouchant sur la merà l’arrêt de bus, ce jeune humanitaire italien veut sauver le monde
Marzamemi dans les environs de Pachino
Mazamemi surpeuplé de monde, il faut remonter vers la Riserva Naturale di Vendicari pour trouver quelques spot tranquilles pour la journée plage et dormir à la belle étoile.
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