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voyage au long cours

Rory en Australie #jeRaconteMaVie

By 24 septembre 2016 Carnets de Voyage, Daily Life, Océanie

Les jours s’écoulent, j’inonde instagram et twitter mais je n’ai pas vraiment raconté comment ce-fait-ce que nous nous soyons retrouvés en Australie, c’est donc l’occasion de faire un point sur notre « voyage au long cours ».

Le 5 aout, cela faisait un an que nous étions partis, notre voyage ayant pris une tournure que nous espérions : nous devons bien l’avouer maintenant qu’on est totalement à l’autre bout du monde, non, jamais nous n’avions prévu de rentrer au bout d’un an… ou au bout d’une durée quelconque. Nous sommes enfin libérés de notre vie en société et de nos obligations (loyer & travail en priorité) et je dois l’avouer (car c’est on dirait qu’en France on a pas trop le droit de crier cela sur les toits) : nous sommes heureux. Après notre road-trip Bécane et Pétrolette, à scooter à travers 3 pays d’Asie du Sud-Est, nous avons eu le luxe de pouvoir vivre un mois en appartement à Ho Chi Minh chez un copain. Un lit, une douche, du wi-fi pour s’organiser et binge watcher des séries TV (The Leftovers notamment, je recommande !), nos scooters pour vadrouiller en ville et tester tous les resto végétariens… et puis préparer la suite.

C’est la mousson. #rain #rainseason #rainyseason #hochiminhcity #hcmc #vietnam #asia #southeastasia #travel

Une vidéo publiée par RORY (Travels Anywhere) (@roryofroom) le

 

Le Vietnam, et après ?

On fait quoi après l’Asie ? Au début on pensait aller aux Philippines ou en Indonésie (c’est encore en Asie nunuche) mais bof, pas trop motivés. Et puis on a rencontré quelques personnes sur la route qui nous ont parlé de l’aspect lucratif de l’Australie (oui on ne fait pas que dépenser tous ses sous là-bas, on peut aussi travailler !) qui permettait au backpacker fauché de se refaire une santé financière afin de continuer ses pérégrinations.

A là base moi j’étais surtout attirée par la Nouvelle-Zélande et ses paysages sauvages, MAIS (attention faut suivre) la rencontre du boyfriend australien de notre amie Allemande avec qui nous avons voyagé au Cambodge a un peu tout changé ! Et oui il nous offrait de nous prêter son appartement en Australie pendant qu’il travaillerait dans les mines à l’autre bout du pays, ce qui me permettrais, armée d’un Working Holliday visa (visa Vacances-Travail) de trouver un job et remettre des sous de côté afin de pouvoir nous assurer un futur dans notre vie nomade.

Et nous voici à Ho Chi Minh, donc, à faire les demandes de visa, aller à l’hôpital vérifier qu’on est bien portant (les Australiens ne veulent pas de gens malades sur leur grande île), trouver des billets d’avion et enfin… vendre nos scooters bien aimés !

Ma bécane appartient désormais à une expat espagnole qui ne savait pas conduire et l’essai fut épique : elle a failli foncer dans un mur et se gaméler. Je lui ai donc fait jurer d’apprendre à conduire le week-end suivant avec des amis dans son quartier avant de s’aventurer dans le trafic sauvage d’Ho Chi Minh avec une Bécane qui pèse 100kg.

Pour la Pétrolette du Barbu ça a pris plus de temps… si des locaux n’arrêtaient pas d’essayer de lui négocier pour des prix un peu trop serrés (mais ils étaient intéressés, c’est le principal), c’est finalement un Belge flamant qui avait revendu sa moto Honda Win –trop de problèmes mécaniques- pour enfourcher la petite Pétrolette… il paraît qu’ils sont allés jusqu’en Thaïlande tous les deux !

 

« G’Day mate ! »

Le 20 juin et deux avions plus tard, nous passons de l’Asie à l’Océanie et atterrissons à Sydney en plein hiver australien – ça caille mais le ciel est, comme l’océan, d’un bleu éclatant et nous nous faisons accueillir par un agent des douanes barbu et notre premier « G’Day mate ».

sydneyBleu « Sydney en hiver »…

On ne le sait pas encore, mais on va adorer l’Australie, pour laquelle on n’était pas enthousiastes au premier abord. C’est remplis d’idées préconçues du genre : c’est surfait, c’est trop cher, c’est rempli de backpackers français et de surfeurs blonds peroxydés, tout le monde le fait… que l’on pose le pied dans le pays.

Trois mois plus tard, on est fan de chez archifan, et plus heureux que jamais ! La nature ne cesse de nous surprendre et nous émerveiller. Même si les terres sont très exploitées par l’agriculture, la nature est quand même partout, que ce soit dans les parcs naturels hyper nombreux jusque dans les villes où l’on croise multitude d’oiseaux. Lorsque l’on arrive à Ballina, là où l’on nous prête l’appartement, on se fait accueillir par la vue des baleines qui font leur migration que l’on peut observer depuis les côtes, bientôt suivie de celles de dauphins dans la rivière, pélicans, perroquets colorés de toutes sortes, chants de Magpie tous les jours… il n’y a pas à dire, c’est dépaysant. Le tout dans un pays très occidental mais où l’on accueille avec le sourire « how are you mate ? » même à la caisse du Aldi, où les gens ont beau rouler dans des 4×4 énormes ils mangent local et bio et où l’on trouve des options végéta*iennes partout !

Le premier mois est passé entre découverte des us et coutumes locales si l’on peut dire, et ce grâce à notre couple d’amis qui nous a fait la surprise d’être à l’appartement (ils étaient censés aller en Europe après leur voyage en Asie mais fauchés, il sont retournés en Australie). J’ai pu me familiariser avec la conduite à gauche grâce à « Burito » la petite voiture de notre copain Dan, on a passé des journées entières à chercher du boulot à la bibliothèque car on avait pas le wifi à l’appart, aller à la plage, faire les courses, découvrir les alentours…

ballina-1Une des plages de notre petite ville, bon point pour l’observation des baleines

byron-bayUn coucher de soleil sur les montagnes dans la baie de Byronballina-8Avis de tempêteballina-7

ballina-6Drôle de météo à Ballinaballina-5Coucher de soleil sur la Richmond river à Ballinaballina-4

ballina-2Les minion falls ! (un nom pareil ça ne s’invente pas)

Après avoir passé un diplôme me permettant de servir de l’alcool dans l’état du New South Wales, j’ai décroché un job comme bar girl dans un gros festival de musique, Splendour in the Grass, non loin de Byron Bay. Ca jette dans le bain direct, de se retrouver en rush de 7 à 11h par jour derrière un bar à servir la jeunesse Australienne « intoxicated » mais pas trop (bein oui il y a des règles comme je l’ai appris dans mon petit diplôme). Il y a des accents, des gens rigolos, des looks improbables mais bon globalement rien de très original, mais une super équipe au bar, bonne ambiance et lieu de travail, et l’apothéose du truc, c’est que j’ai réussi à voir la fin du concert des Strokes, un de mes groupes préféré depuis que j’ai 11 ans, premier album CD acheté de ma vie (à Londres en plus).

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splendour-1

Le dernier jour où j’ai bossé 11h d’affilée j’ai été envoyée en renfort sur un deuxième bar avec une carte trois fois plus longue que celle de mon bar initial… et après un temps d’adaptation j’ai fini par comprendre ce qu’étais un « Bundaberg » ou leur marque de cidre, à faire plein de cocktails en un temps record… et c’était cool. Si un jour quelqu’un m’avait dit que je ferai bargirl et que j’aimerai bien ça je lui aurai bien rigolé au nez. Après je ne me vois pas bosser non plus dans un bar dans un bled au fin fond du bush, l’ambiance festival et le rush constant ont rendu la chose intéressante je pense ! Et puis on y a retrouvé notre copain Pierrick, avec qui on avait voyagé en Thaïlande, et ça, c’est cool aussi.

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Bye bye Bécane, salut Mémère #passionVéhiculesCouleurBordeaux

Et puis on a acheté notre voiture. Comme finalement nos amis étaient là pour rester, que l’on ne trouvait pas de job dans le coin on s’est dit qu’on allait partir à la recherche d’un job en ferme, et pour cela il faut un véhicule. Achetée par un couple de backpacker italo-anglais à une grand-mère un peu plus au sud de l’état, notre nouveau véhicule, un break Holden de 1993 a très vite eu un nom tout trouvé « Mémère » ! Mais notre mamie en a sous le capot (un V6 – 3,7L tout de même, eh oui on est en Australie) et équipée de technologie de pointe des années 90 (elle a un régulateur de vitesse qu’on a baptisé « Bender », le robot de Futurama) elle nous permet de faire des économies d’essence. C’est donc ce gros break avec matelas et matos de camping qui est désormais notre maison, et c’est super chouette.

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Pour l’instant tout roule, on a juste eu une grosse frayeur le jour où une durite s’est détachée du radiateur et tout le liquide de refroidissement s’est barré… on s’est donc retrouvé avec le moteur fumant (nous « yaaaa l’feuuuuu !!!! ») à balancer notre bidon de 10L d’eau dessus pour le refroidir, craignant fort pour le joint de culasse –head gasket en anglais pour votre culture personnelle. Heureusement notre copain australien, qui était mécano avant est venu à la rescousse et depuis la dame est bien hydratée du radiateur. Moi au final je suis super contente de continuer mon apprentissage en mécanique après le scooter et les réparations de Pétrolette je passe au niveau supérieur !

Et puis après un tour d’une dizaine de jour dans le Queensland, de Brisbane où l’on a retrouvé encore une fois Pierrick en passant par plusieurs coins pour trouver du boulot – un contractor véreux qui nous laisse tomber pour du pruning de vignes puis un « presque » aux mandarines dans la charmante bourgade de Gayndah, finalement le Barbu me trouve du boulot… à Byron Bay ! En une journée, nous parcourons les 650 km retour à la case départ et me voilà dans les pêches et les nectarines. Cela fait plus d’un mois que nous y sommes, entre ferme, wallabies et Kookabaras avec pour programme les jours de repos : plages vierges avec dauphins surfeurs de vagues, on est loin d’être malheureux.

peach-1Un bébé pêche peach-11Une nectarinepeach-10Un collègue de boulotpeach-9
peach-8Aux aurorespeach-7

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peach-2Les autres collègues

peach-13Bed with a view

Les jours de congés:

peach-beach-1

peach-beach-7Sandwiches et bodyboard peach-beach-5à Yambapeach-beach-4 Angourie beachpeach-beach-3 Shark baypeach-beach-2

Et ensuite ?

Maintenant on a plein de projets, d’abord la Tasmanie cet été (hiver français, donc), puis peut-être la Nouvelle-Zélande à pieds par la suite, puis chercher un voilier en bateau-stop pour les îles (Vanuatu, Fidji et/ou Polynésie) dans le but de traverser le Pacifique… et de parcourir les Amériques !

Je n’ai pas vraiment envie de bloguer l’Australie parce que j’ai plus l’impression d’y vivre plutôt que d’y voyager, que je n’ai pas touché à une pellicule depuis que je suis arrivée et que l’appareil numérique est vraiment en train de décéder. Mais j’ai encore plein d’aventures asiatiques à raconter donc je continuerai d’écrire par ici !

Du coup, Maman, Papa, mes chères sœurettes, mon cher frérot, les copains…on n’est pas rentrés. Et si vous voulez nous rejoindre sur les routes, amis ou inconnus : le plus rapide sera l’Océanie dans l’année à venir, le moins onéreux le continent américain, donc, plus tard. Voilà vous savez tout !

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Notre voyage au long cours

By 15 juillet 2015 Daily Life, Voyage
Indonésie gunung rinjani

(Article sujet à modifications)

Nous y voilà. Il y a deux semaines, nous vidions notre appartement puis rendions les clés à la propriétaire. J’ai pu utiliser mon permis de conduire tout neuf assorti du permis international pour conduire les affaires que nous souhaitions conserver en Franche-Comté, cheveux aux vent, remorque brinquebalante plus grosse que la Clio qui la tractait. La semaine dernière, le Barbu a effectué son dernier jour de travail… mon tour viendra vendredi prochain. Dans moins d’un mois, nous embarquons pour Istanbul-Bishkek-Osh. Cela fait des mois que nous en parlons, que cela anime les discussions avec les amis, voisins, collègues, et même nouvelles rencontres, mais je n’ai toujours pas réussi à en parler ici.

Nous partons en voyage au long cours.

Vous avez-tout quitté du coup ?

On a laissé notre appartement chéri, nos boulots : fin de CDD pour moi et mise en dispo pour le Barbu. Le chat à la campagne chez ma maman, les meubles vendus ou placés chez des amis. Les bouquins et fringues dans des cartons chez nos mères respectives. Ya plus qu’à !

Pourquoi partir comme ça ?

Pour moi c’est une envie depuis tout le temps, un rêve de liberté à la suite de mes études et mes expériences pro. La petite fille en moi qui voulait devenir exploratrice va quelque part se réaliser, même s’il ne s’agit pas d’une expédition à but scientifique. Pour le Barbu c’est une rupture après ses 10 premières années de boulot, une envie d’ailleurs, d’autre chose.

Et c’est quand qu’vous partez ?

Début aout 2015.

Vous commencez par quels pays ?

Kirghizistan, Tajikistan (en Asie Centrale), Inde.

inde gokarna

C’est tout, vous ne faites pas un tour du monde ?

Non on a pas prévu de faire un tour du monde. Pour les autres pays, nous verrons bien selon les opportunités. Mais nous pensons aux Philippines, à l’Indonésie (Sulawesi, Papouasie), à l’Asie du Sud-est peut-être (Birmanie, nord de la Thaïlande, Vietnam), et à finir en Nouvelle Zélande pour profiter du visa « Working Hollidays ». J’ai fait une petite carte, en rose les personnes que nous prévoyons pour le moment de retrouver en cours de route, en vert les choses prévues ou désirées.

Et vous partez combien de temps ?

Nous aimerions bien un an, voire un an et demi…

Vous êtes riches ?

Heu pas spécialement. Mais nous avons mis un peu de sous de côté, moi lors de mes deux années de contrat d’apprentissage (car mon petit job actuel étant au SMIC, cela ne m’a pas permis de faire des économies mirobolantes, surtout que j’ai passé mon permis de conduire !) et le Barbu est devenu fonctionnaire (comme quoi tout arrive !). Notre souhait étant surtout « vivre » en voyage en effectuant des petits boulots contre hébergement et nourriture, grâce à Workaway, Woofing, HelpX et non de faire du tourisme à tout prix et découvrir « l’incontournable » et ratisser chaque pays comme il est plus de coutume de faire lorsque l’on a moins de temps. Nous comptons également faire du stop, comme au Portugal et sur les belles rencontres fortuites, une des raisons même de notre voyage !

Vous faites comment avec les banques ?

Nous avons chacun pris un compte en ligne tout en conservant notre banque française uniquement pour faire les virements ainsi que les livrets d’épargne. J’ai choisi le compte Nickel, un compte sans banque proposant la Mastercard pour 20€ par an et les retraits à l’international au prix fixe de 1€. Le Barbu lui, sera chez Hello Bank, également très avantageuse pour les voyages au long cours… et avec une carte Visa bien sûr ! Il est important d’avoir toujours deux cartes bancaires différentes, même si cela ne nous a pas aidé lors de nos précédents déboires à Bornéo et Lombok en Indonésie. Mais là c’est plutôt une histoire de plafonnement de retraits !

Tavira

Vous partez en sac à dos ?

Oui tout à fait. Moi personnellement je n’ai toujours voyagé que comme cela, même avec mes parents ! Nous souhaitons emporter du matériel pour camper au Kirghizistan car nous resterons deux mois en Asie centrale. Mais le but étant d’avoir un sac le plus léger possible, un poids inférieur à 10 kg ça serait l’idéal. Mais à l’heure qu’il est nous n’avons pas encore préparé nos sacs et avons encore des achats à faire, des duvets à récupérer à droite à gauche, une tente à troquer. Et comme nous prévoyons des destinations tropicales (pantalon en lin reprezent’) mais également de la montagne (aglagla) cela va être un peu compliqué de s’équiper sans ressembler à une pub pour Quechua (Mais on va y arriver !! – je n’ai rien contre Quechua mais l’excès de matos Quechua fluo nuit aux yeux de vos compagnons de voyage – Déso décath!).

Et pour les photos tu vas faire comment avec tes pellicules ?

Pour l’instant j’ai prévu un stock conséquent de bonnes pellicules pro que j’aurai du mal à trouver partout. Nous compléterons cette base avec des pellicules plus basique trouvables partout (type Kodak gold ou Fuji Supéria). Pour ce qui est du développement j’ai un ami photographe en Pologne qui s’est proposé pour développer et scanner moins cher, par contre je n’aurai pas mes photos immédiatement, cela partira par lot, inutile d’envoyer les pellicules unes par unes (et il y a des pays où les services postaux sont plus ou moins réputés, à prendre en compte !). Si jamais je me renseignerai sur des compagnies internationales type UPS, ou si vous avez des conseils à ce niveau là, je suis preneuse.

Ah d’accord… tu ne prends pas tous tes appareils photos quand même ?

Si bien sur ! J’aurais une mule pour m’accompagner qui portera mon matériel ! Evidemment non, je prendrais mon reflex argentique Minolta, mon télémétrique Ricoh qui tient dans la poche (j’ai du le racheter car il m’avait lâché juste avant le départ et hors de question de partir sans lui), ainsi que mon moyen format Lubitel. Le barbu aura son merveilleux Vivitar ainsi que l’appareil numérique Fuji x20 qui nous sert  majoritairement à filmer… et prendre des photos d’animaux meugnons.

Des petites astuces à partager ?

J’ai des astuces « hygiène » ! Cela fait un moment que je n’utilise plus que du savon et shampooing solide, plus économique ET écolo (souvent un shampoing solide équivaut à au moins 3 bouteilles de shampoing liquide). Pour le moment j’ai testé les Lush (vegan), ceux de la marque « Douce Nature », les Fleur de Shampoing (bio – très agréable et léger mais diminue vite quand même) et je teste actuellement le Lamazuna en forme de canelés, il parait qu’ils durent longtemps (également vegan). Pour le savon je suis accro au Savon d’Alep depuis des années, j’ai testé le savon à la menthe poivrée du Dr Bronner (une tuerie mais maigrit vite!) et j’emporte également un gros pain de savon de Marseille, pratique pour la lessive également.

Sinon une autre astuce pour limiter le poids du sac c’est de télécharger les guides de voyage sur le smartphone : le Lonely Planet par exemple est moins cher en version numérique, et on peut choisir des chapitres à l’unité ! Par exemple pour l’Asie Centrale, nous n’avons pris que les chapitres Tadjikistan et Kirghizistan, que nous pouvons consulter sur mon smartphone android (j’utilise l’appli UB Reader, très bien !) ainsi que sur l’ordinateur. Le site Voyage-Forum est également une mine d’informations pour les destinations peu documentées.

Je ne sais pas trop quoi rajouter à cet article « fleuve » mais si vous avez des contacts, questions, conseil, n’hésitez pas, c’est le moment d’en discuter ! 🙂

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